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Tuesday, 17 August 2010

Is It 1990 Again? HIV/AIDS Myths are Alive and ... Scary

"Don’t drink from the same glass of an AIDS patient." "AIDS may be able to spread by coughing or sneezing." "Having AIDS means you’re dead in 5 years." "AIDS meds can kill you quicker than AIDS." "You can tell someone has AIDS just by looking at them." "I can't get AIDS - it only happens to 'those people.'"

These are examples of statements and myths that were made back during the early years of the AIDS epidemic. The statements are also reflective of the derogatory language used during that time. No one would say these statements or use this language now, right? Wrong. Myths like these continue to spread quicker than HIV itself. This is a very scary scenario.

Over at thebody.com, a top HIV/AIDS online resource center for consumers and professionals, they field questions centered around myths on almost an hourly basis. Dr. Robert J. Frascino, aka "Dr. Bob," tackles these questions with the grace and utter snark of a true professional. Scroll down the list of questions posted by freaked out people from across the world and it becomes clear that there is still a lot of work to be done to combat these dangerous myths. (You can also read the posts and Dr. Bob's comments when you are in need of some serious belly laughs.)

Even popular culture and major cable networks are not immune to this flagrant display of HIV misinformation. Those who follow the Gay Rights cause no doubt remember the extensive coverage of The View debacle from a few months ago. To recap, Sherri Shepherd and guest host D.L. Hughley attempted to blame the spread of HIV in the black community on men who are on "the down low." This is utterly damaging and completely irresponsible behavior on the part all parties involved.

Stigma and discrimination toward those who are HIV+ can feed into the spreading of misinformation. Many of us have heard the line "that can't happen to me." Whether it's HIV, a car crash, or someone "defriending" you on Facebook (isn't that the worst?!), many people live in denial or somehow view their own life as superior to others to avoid what could very easily become a reality. This stigma fuels the stereotypes around HIV, and it leaves persons living with HIV feeling isolated and fearful of their own reality.

These are the very findings of a recent global survey of 2,035 people living with HIV conducted by the International Association for Physicians in AIDS Care (IAPAC). The results were presented (pdf) at the XVIII International AIDS Conference in Vienna back in July. Overall, respondents feel stigmatized and discriminated against. To sum up some of the findings: 38% of respondents felt as if other people were judging them; almost 50% said they had encountered someone who was afraid to have casual contact with them; 25% said that someone would not share food or drink with them; and 24% said that someone would not kiss them. All of this terrible behavior due to someone believing in a myth rather than seeking out the truth.

Sometimes there is avoidance of the issue entirely. Back in May of this year, the National Association of Social Workers - New Jersey Chapter (NASW-NJ) held their annual meeting of the profession. During the conference, I conducted a workshop on HIV and the importance of keeping this issue relevant in the work we all do. To my surprise, the topic generated the interest of around 15 professionals (compared with the over 350 who were registered in attendance for the 3-day conference). Those who were in the room got it; I was hoping to reach more of the ones who aren't quite there yet. After the workshop, a lovely and more seasoned social worker approached me. She let me know that she had been coming to these conferences for "many years" and that this topic would've been the keynote address 15 or 20 years ago. She seemed dismayed with the turnout as well. At the same time, we were all hopeful that with continued attention, the issue of HIV will not be silenced again as it was 20 years ago.

This is the real fear — that HIV/AIDS will become something to be ignored in the larger world. This cannot happen. We must continue to be a voice for HIV awareness. We can all educate those who are not completely aware of what it means to be HIV+ today. We can laugh when someone says something ridiculous about HIV, then quickly correct them and never laugh with them again. If these myths and misinformation prevail, HIV will spread at even more alarming rates than it is today. Further, those living with HIV will be even more segregated than they already are. That is when we, as a society, would feel real fear and panic. Let's all try to live like it's 2010; not 1990.

Photo Credit: Keith Haring

Source By Elizabeth Lombino is a Licensed Social Worker and freelance writer. She provides individual and group mental health services to HIV+ adults. (Change.Org)

Sunday, 15 August 2010

Sida: Capote or not capote? La prévention chez les gays

Alors qu'un désamour du préservatif se fait sentir dans la population gay, la trithérapie apparaît comme un complément à la prévention. Vingt-huit ans après son apparition, le virus du sida continue de se propager. Particulièrement touchée par l'épidémie, la population homosexuelle masculine constitue le groupe où l'on observe le plus de nouvelles contaminations. Une incidence et une prévalence au VIH fortes font que le risque de contamination y est très élevé. Les comportements préventifs s'érodent, augmentant les « chances » d'infection. Derrière ce bien sombre tableau se cache tout de même une lueur d'espoir. Les trithérapies pourraient changer la donne, dans le bon sens.

L'hécatombe continue : Alors que le nombre de nouveaux cas d'infections au sida diminue globalement en France, il demeure élevé au sein de la communauté gay. Avec 3 320 nouvelles contaminations en 2008, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) sont les plus touchés par le virus du sida. Chaque jour en France, neuf homosexuels découvrent donc leur séropositivité. Le taux d'incidence ( nombre de personnes contaminées sur un an ) rapporté à l'effectif total de cette population, est de 1%, soit 200 fois plus que chez les hétérosexuels.

Emmanuel Château, membre de la commission prévention d'Act Up Paris, évoque les raisons du dynamisme de l'épidémie en milieu gay : " On est dans une situation un peu paradoxale : les gays se protègent plus que tout le monde ; comme il y a plus de séropositifs et aussi plus de partenaires, le risque est plus important qu'ailleurs ".

Anne Armand, pharmacienne vacataire, référent VIH à l'hôpital Bon Secours à Metz, s'inquiète d'une nouvelle recrudescence de l'épidémie, car le chiffre des nouvelles infections homosexuelles avoisine ceux du début des années 2000.

Avec un taux de prévalence ( nombre de séropositifs dans une population déterminée ) aux alentours de 10% et une incidence élevée, l'épidémie est loin de s'essouffler en milieu gay. Des études arrivent même à un constat alarmant, comme l'explique Jean Luc Ferry, coordinateur de la délégation de la Moselle d'Aides : " On extrapole qu'aux alentours de 2050, un gay sur deux pourrait être séropositif ".



La capote n'a plus la cote : L'enquête Prévagay, réalisée par l'INVS ( Institut national de veille sanitaire ) auprès des HSH fréquentant les lieux de convivialité gay parisiens, a estimé que le taux d'incidence dans cette population était de 7,5%. Même s'il s'agit d'une population spécifique, ces chiffres montrent que l'épidémie pourrait se répandre encore plus vite et toucher bien plus qu'un gay sur deux... Fer de lance de la lutte contre le sida depuis près de trente ans, le préservatif semble, pour certains gays, avoir fait son temps. Le " sortez couvert " devenu culte s'essouffle. Selon des études conjointes de l'INVS et de l'ANRS ( Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales ) : " (... ) Les rencontres multiples et brèves, souvent anonymes, constitutives de l'identité homosexuelle, s'accompagnent d'un abandon de plus en plus fréquent du préservatif ".






Le sida apparaît plus comme une maladie chronique : En plus du désamour des gays envers le préservatif, le virus lui-même commence à lasser. " Aujourd'hui, le sida n'apparaît plus comme une maladie mortelle, mais plus comme une maladie chronique ", explique Christian, bénévole chez Aides. Michel Celse, rapporteur du Conseil national du sida, évoque les raisons de cette chute des comportements préventifs classiques.

En effet, les choses ont changé dans la sexualité gay. Le " safe sex " séduit de moins en moins. Un responsable d'Aides déplore : " Aujourd'hui, il est presque de bon ton de baiser sans capote ".

Pour justifier ce rejet progressif du latex, tout est bon. Florilège des explications du milieu, sur des images de la campagne de prévention de l'INPES de 2008. ( Voir la vidéo san le billet ci-dessous ).

Franck, patron du Men's club, un sauna gay, estime que l'efficacité des traitements antirétroviraux pousse certains hommes d'âge mur à ne plus se protéger.

Laurent Schultze, responsable de l'association Emergences, dresse le même constat chez les jeunes : " Pour eux, c'est le " no capote " qui prime. Ils se disent que le VIH n'existe plus parce qu'il y a la trithérapie ". Pourtant, comme l'explique Christian, la trithérapie demeure un traitement lourd, et à vie.

Prendre des risques à moindre risque : L'arrivée des trithérapies en 1996 a révolutionné le traitement de la maladie, en empêchant l'évolution du VIH chez les personnes infectées. Le premier bénéfice de ces antirétroviraux a été d'augmenter considérablement l'espérance de vie des séropositifs.

En 2008, une annonce est venue bouleverser toute la stratégie de prévention dans la lutte contre le sida. Le docteur Hirschel affirmait en effet que : " Toute personne séropositive ne souffrant d'aucune MST et suivant un traitement antirétroviral avec une virémie entièrement supprimée ne transmet pas le virus par voie sexuelle ". De nombreuses polémiques ont vu le jour après cette déclaration, médecins et associations craignant que des dérives apparaissent.

Depuis, le soufflé est un peu retombé et le Conseil national du sida a rendu en avril dernier un avis favorable à l'utilisation du traitement comme outil de prévention. Pour Christian, séropositif sous traitement efficace, la trithérapie peut permettre sous certaines conditions une nouvelle sexualité. Mathieu Follea, chargé de prévention grand Est du Syndicat national des entreprises gaies (SNEG), atteste lui aussi de l'intérêt préventif du traitement.

" Un couple dont un partenaire est séropositif, l'autre est séronégatif, si le partenaire séropositif (... ) a un traitement suffisamment efficace pour atteindre ce qu'on appelle une " charge virale indétectable ", il est beaucoup moins contaminant. […] C'est scientifiquement prouvé ".

Michel Celse du CNS estime : " ( Qu' ) il y a tout un champ qui s'ouvre avec la question de l'usage du traitement en prévention. Ça réduit de manière extrêmement forte le risque de transmettre le virus. Ce n'est pas une protection absolue, il existe un risque résiduel, mais c'est un outil intéressant ".





Le traitement constitue un outil de prévention utile, notamment en direction des gays qui sont déjà en situation d'échappement vis-à-vis du préservatif. « Il est indéniable que le traitement a sa place dans la prévention », souligne le rapporteur du CNS.

Une éradication possible du sida pour 2050 : Même si le préservatif ( bien utilisé ) reste la norme indiscutable en matière de protection, il faut maintenant " marier traitement et prévention ", comme le martèle le docteur Myron Cohen, professeur de médecine et microbiologie. Au vu des contaminations en milieu gay, toutes les méthodes permettant de réduire les risques de contaminations doivent être intégrées dans les actions de prévention. Bien utilisé, le traitement antirétroviral est l'outil le plus puissant ( après le préservatif ) en matière de réduction du risque de transmission et, du coup, en matière de contrôle de l'épidémie.


Jean Luc Ferry insiste sur l'effet positif d'une généralisation du traitement au plus grand nombre de personnes séropositives.




Michel Celse appuie : " Si la prévalence diminue, on rentre dans un cercle vertueux qui fait qu'au fur et à mesure qu'elle diminue, le risque d'exposition diminue, le nombre de nouvelles contaminations aussi et ainsi de suite ".

Organisation mondiale de la santé arrive également à cette conclusion. En favorisant le dépistage annuel de toute la population sexuellement active et en mettant sous traitement immédiatement les personnes infectées, on pourrait conduire à l'éradication de l'épidémie pour 2050.

Et si on n'avait plus besoin de vaccin...

Source By http://www.rue89.com and Thierry Heure

Monday, 18 May 2009

Touch of Pink-part1

Touch of Pink-part1
Video sent by lord007

Touch of pink (qu'on peut traduire par touche de rose ou soupçon de rose) et l'un de mes film favori,j'avoue que c'est la premier fois que je vois un musulmant a la télé avec une personalité charismatique en plus le film ne parle pas des cliché habituelle dans ce genre de film (drogue,sida, violence....) bref un film rafréchissant
L'histoire
A Londres, deux jeunes hommes , Alim et Giles, mènent une vie de couple heureuse. Alim est tellement fasciné par l'univers des classiques hollywoodiens qu'il croit vivre avec l'esprit de Cary Grant. Son compagnon ne sait rien de son obsession.
Leur vie aurait pu continuer paisiblement ainsi mais la mère d'Alim, Nuru, qui ignore tout de l'homosexualité de son fils, débarque du canada, bien décidée à lui trouver une fiancée comme il faut...
Entre choc des cultures et conflit de générations, la vie d'Alim va exploser.
Cary Grant pourra peut-être lui donner un coup de main, mais il va quand même devoir choisir entre le rêve et la réalité...

NB: je metterai les pari a fure et a musur
olli et christian je l'uperai tt de suite

Friday, 15 May 2009

I Am Because We Are (Anglais sous-titré)

I Am Because We Are (Anglais sous-titré)
Video sent by gotti57


Film britannique réalisé par Nathan Rissman Avec Madonna, Bill Clinton, Desmond Tutu...

Genre : Documentaire.

Date de sortie : 25 Mars 2009.

Le Malawi est un des pays les plus pauvres de la planète et c'est aussi un pays que la communauté internationale a complètement oublié. Pourtant ce pays compte plus d'un million d'orphelins du SIDA. Livrés à eux-mêmes, des enfants très jeunes deviennent chefs de famille et doivent s'occuper d'autres enfants. Que deviendra cette génération sacrifiée qui grandit sans parents ?